Mon itinéraire de 20 jours autour de l’île de Beauté

Voulant découvrir la Corse depuis un petit moment déjà, le mois de juin 2021 a été l’occasion d’y faire un petit road trip d’une vingtaine de jours. Toujours baigné(e) dans une atmosphère incertaine avec le Covid, il était assez simple de se rendre sur l’île de beauté sans trop de contraintes. J’ai donc traversé en ferry avec ma voiture. Laisse moi te parler de mon itinéraire.

• PREMIER JOUR : Arrivée en ferry et nuit à Bastia

Je suis partie en ferry au départ de Nice direction Bastia. La traversée a duré environ 5h30 (de 13h à 18h30), tout était très bien organisé et indiqué. Arrivée en Corse, je suis sortie du ferry et me suis garée au plus près de mon hébergement, à même pas 5min du port. J’ai fait connaissance avec mon hôte et n’ai pas trop tardé à aller me coucher.

• DEUXIEME JOUR : Direction le Cap Corse

Après 1h30 de route environ, me voila arrivée au départ du Cap Corse et plus précisément au petit village de pêcheurs d’Erbalunga, ma première halte. Vers 8h30, tout était très calme et l’on entendait juste le bruit des vagues s’écraser sur les rochers. Quel bel endroit ! Je me suis promenée le long des berges et j’ai profité de l’ambiance des lieux avant de reprendre la route vers Macinaggio.

Souhaitant faire le sentier des Douaniers jusqu’à Barcaggio, je me suis rendue à Macinaggio, village idéal pour commencer la randonnée. Je me suis garée gratuitement au port et j’ai commencé la marche vers 10h. Il faisait déjà 32 degrés à cette heure-ci, autant te dire que j’ai bien souffert de la chaleur car il n’y a presque pas d’ombre tout le long. Heureusement, les paysages en valaient carrément le détour ! Je te recommande vivement ce sentier si tu es adepte de rando : le niveau n’est pas très élevé, il y a juste un peu de dénivelé vers la fin. La marche est estimé à 7h aller/retour, je ne l’ai pas faite entièrement à cause de la chaleur, je me suis arrêtée à la tour, juste avant le village de Barcaggio. De retour à la voiture, c’était direction le Moulin Mattei avant de rentrer à l’hôtel.

• TROISIEME JOUR : On redescend le Cap Corse

Direction St Florent en redescendant par les petits villages du Cap Corse en 4h environ. Je me suis arrêtée notamment à Pino, Nonza et Patrimonio. Le village de Nonza et son immense plage de sable noir ont un charme fou !

L’après-midi, j’avais réservé une excursion dans le désert des Agriates via la compagnie de navettes Le Popeye. Plusieurs options s’offrent à toi : les taxi boats te permettent de rejoindre la plage de Saleccia en 30min pour la somme de 30 euros aller/retour (j’ai, personnellement, choisi cette option); les navettes maritimes te permettent de rejoindre la plage de Lotu en 20min environ pour 20 euros aller/retour; tu peux également combiner les deux plages en arrivant à Lotu et en faisant la randonnée jusqu’à Saleccia où tu pourras reprendre le bateau pour retourner à St Florent; et la dernière alternative est la petite croisière de deux heures entre les deux plages avec un arrêt baignade de 30min qui te permet d’en voir davantage sans trop te fatiguer. Je te conseille de prendre l’option où tu arrives à Lotu et où tu repars de Saleccia car les paysages sont magnifiques et je regrette de ne pas avoir fait la petite randonnée qui longe la côte. Attention cependant, le désert des Agriates étant TRÉS réputé autant pour les Corses que pour les touristes, je te recommande d’éviter de t’y rendre le week-end, comme moi, car c’est tout simplement bondé de monde !

En revenant, je me suis baladée dans la ville de St Florent qui est vraiment agréable avec ses petites boutiques et ses multiples restaurants au bord de l’eau, avant de rentrer à mon hôtel.

• QUATRIEME JOUR : Direction Calvi

On continue le tour de Corse avec, cette fois-ci, la découverte de Calvi. Je suis, dans un premier temps, allée visiter les petits villages de Balagne aux alentours en passant par Lumio, Sant’Antonio, Cateri et Montemaggiore. Petit coup de cœur pour ce dernier. Si tu es en voiture, l’entrée au village est payante (3 euros le parking pour une durée illimitée si je me souviens bien), j’y ai passé une bonne partie de l’après-midi avant de me rendre doucement à mon camping, en face de la célèbre citadelle.

Un sentier est aménagé le long de la plage pour rejoindre la citadelle. Le vieux centre ville de Calvi est vraiment mignon avec pleins de boutiques et de restaurants, je te conseille de déambuler ça et là pour t’imprégner de l’ambiance des lieux ! Je ne suis pas restée longtemps à Calvi malheureusement, un ou deux jours de plus n’auraient pas été de refus, surtout dans le super camping où j’étais.

• CINQUIEME JOUR : découverte de la magnifique Porto Ota

Pour commencer la journée, je me suis dirigée vers un beau point de vue sur Calvi, non loin de la chapelle Notre Dame Della Serra qui surplombe la baie. Puis je me suis ensuite rendue à Galéria et plus précisément à la rivière de Ponte Vecchiu pour me rafraichir avant de reprendre la route pour Porto Ota. Non loin des calanques de Piana, le cadre de Porto Ota est vraiment chouette, il fait bon de flâner dans son petit port et tu pourras admirer un des plus beaux coucher de soleil de l’île ! J’ai passé la nuit dans la seule auberge de jeunesse de l’île que j’ai trouvé, sur les hauteurs, en compagnie d’un allemand et d’une bonne bière.

• SIXIEME JOUR : les calanques de Piana et alentours

Départ tôt ce matin là direction le Capo Rosso, une super belle randonnée de 3h aller/retour environ qui mène à la tour de Turghiu et qui surplombe le golfe de Porto et la réserve de Scandola. La marche n’est pas difficile en soit à part peut être le dénivelé de la fin pour arriver au sommet mais je te conseille tout de même de partir avant 8h pour ne pas subir les fortes chaleurs, surtout en été. Prévoir de bonnes chaussures et assez d’eau. Attention, il y a très peu d’ombre sur le chemin.

Une fois redescendue, je suis passée prendre quelques photos des calanques de Piana en journée. Le site est, en général, assez fréquenté mais tu trouveras de la place pour stationner assez facilement au détour d’un virage. En haute saison, ce sera peut être plus difficile donc si tu trouves de quoi te garer, je te conseille de te promener ensuite à pied en faisant attention à la circulation. Pour trouver les points d’intérêts, notamment le fameux cœur dans la roche, tu peux utiliser Google Maps, tout y est très bien indiqué.

Pour la fin de journée, j’ai réservé une excursion en bateau pour le coucher du soleil dans les calanques. Gros coup de cœur, je te parle donc de cette activité dans mes incontournables !

• SEPTIEME JOUR : direction Ajaccio

Je quitte Porto Ota pour me rendre à Ajaccio assez tôt. Sur la route, je fais plusieurs haltes notamment à la crique de Sagone pour faire trempette.

Gros choc en arrivant à la capitale : il y a énormément de monde et ce qui m’interpelle le plus c’est le brouhaha général, je ne trouve vraiment aucun charme à cette ville. Je fais tout de même un petit tour mais je ne trouve pas réellement de choses intéressantes à faire à part la Maison Buonaparte puisque, bien entendu, Ajaccio est célèbre pour être la ville natale de notre cher Empereur Napoléon. Je n’ai pas fait la visite mais si tu es passionné d’histoire, je te la recommande. Très déçue, je décide de ne pas rester longtemps et de vite me rendre à mon hôtel dans les montagnes.

• HUITIEME JOUR : les îles sanguinaires

Cette journée était consacrée aux îles sanguinaires et aux multiples randonnées associées ! J’ai choisi de faire la plus longue qui permet de relier la pointe de la Parata à la plage de Saint-Antoine le long du sentier du littoral. Cette rando tranquille de 2h30 environ aller/retour amène à divers points de vue super sympas et la petite plage au bout est super mignonne bien que pas mal fréquentée. C’est un incontournable aux alentours d’Ajaccio, surtout pour voir le coucher du soleil en haut de la tour génoise. Personnellement, je n’ai pas eu trop de chance, le ciel n’était pas super dégagé ce jour là donc pas de beau coucher de soleil en vue mais ça en valait tout de même la peine !

• NEUVIEME JOUR : en route pour Bonifacio

Réveil matinal car une grosse journée m’attendait ! Il y a, en effet, pas mal de choses à voir entre Ajaccio et Bonifacio avec, entre autre, des villages pittoresques à découvrir. J’ai fait une petit halte à Propriano pour commencer avant de me balader dans Sartène. Je vous conseille d’y faire un tour, ce petit village est vraiment chouette.

Je suis ensuite allée à la plage de Roccapina, réputée pour la vue que l’on a depuis sa tour génoise et son rocher en forme de lion. Sache que le chemin pour y arriver est bien cabossé, genre vraiment bien cabossé. Beaucoup de monde reste garé en haut du chemin mais je te conseille vraiment de descendre jusqu’à la plage car la route est quand même longue jusqu’en bas et tu seras bien content(e) de ne pas remonter à pied ! Tu pourras ensuite te rendre à la tour pour avoir une vue d’ensemble sur la plage de Roccapina et celle d’Erbaju de l’autre côté.

Arrivée en fin d’après-midi à Bonifacio, j’ai déambulé dans les rues et il ne m’a vraiment pas fallut longtemps pour avoir un incroyable coup de cœur pour cette ville ! Même le cimetière vaut le détour ! Ce soir là par contre, le ciel était trop couvert pour admirer le coucher du soleil sur les falaises mais ce n’est que partie remise.

• DIXIEME JOUR : découverte des alentours de Bonifacio

Le matin je me suis baladée le long des falaises et je suis retournée au centre de la citadelle avant de me rendre à la plage de Tonarra, au sud de la ville. Vers 19h30, je suis retournée au bord des falaises pour attendre le coucher du soleil, les lieux étant très réputés, j’ai préféré y être bien en avance pour pouvoir faire de belles photos, et j’ai bien fait ! Je te parle plus en détails des falaises dans mes incontournables car, s’il n’y avait qu’un seul lieu à retenir en Corse, ce serait Bonifacio pour ma part !

• ONZIEME JOUR : découverte des plages du Petit et du Grand Spérone + Trou St Antoine

Pour ce onzième jour, je me suis rendue non loin de mon camping, à la plage de Piantarella pour marcher ensuite à la plage du Petit et du Grand Spérone. Il faut compter environ 15min de marche pour aller à la plage du Petit Spérone en longeant la mer. Bien que très belle, cette dernière est très petite et pas mal fréquentée surtout en haute saison. Je te conseille de t’y rendre assez tôt ou sinon de prolonger jusqu’à celle du Grand Spérone qui est bien plus grande, en plus, le chemin est sympa car tu traverses un des plus beaux terrains de golf de France !

Après une petite baignade, direction le Trou Saint Antoine. Pour y accéder, il faut se garer non loin du phare de Pertusato puis descendre à pied en 15min environ vers la plage. Il faut savoir qu’il est impossible de descendre dans le trou et que la plage en contrebas n’est accessible qu’en bateau. Les lieux sont un très beau mélange entre falaises, verdure et eau turquoise malgré un ciel un peu couvert ce jour-là.

• DOUZIEME JOUR : excursion sur les îles Lavezzi et découverte des plages de Porto Vecchio

Ce matin là, j’ai décidé de me rendre aux îles Lavezzi en ferry. Pas besoin de réserver hors saison, il suffit de se rendre à l’agence de la compagnie qui organise les traversées directement au port de Bonifacio : la SPMB. J’ai déboursé 35 euros pour un aller/retour en sachant que l’allée dure 30min et le retour une heure environ car une petite visite des falaises en contrebas est prévue avec des explications. Les îles Lavezzi sont souvent surnommées les Seychelles de la Méditerranée en raison de leurs énormes rochers en granite et de leurs eaux transparentes. Pour moi c’est un passage obligatoire si tu organises un petit trip en Corse car cette réserve naturelle offre de magnifiques paysages !

Une fois l’excursion terminée, j’ai quitté Bonifacio pour me rendre doucement à Porto Vecchio en faisant plusieurs haltes sur la route.

Porto Vecchio étant réputée pour ses très belles plages à l’eau bleu turquoise, je me suis rendue à l’une des plus connues : la plage de Santa Giulia. Quelle ne fût pas ma déception quand j’ai vu le monde sur place ! C’est, certes, une très belle plage mais la horde de touristes et de locaux qui s’y précipitent enlève un peu de magie aux lieux. J’ai préféré ne pas m’y arrêter et me diriger vers une autre plage, elle aussi assez célèbre : la plage de Palombaggia. Victime également de son succès, elle était tout aussi bondée. Je me suis donc promenée le long du littoral et je suis tombée sur une autre plage tout aussi belle : celle de Tamaricciu.

Elle doit sa popularité à son fameux arbre qui surplombe la plage et en fait un vrai décor de carte postale. Malheureusement, l’arbre avait été coupé quelques temps avant mon arrivée mais le paysage reste tout de même splendide, avec des airs de Seychelles comme aux îles Lavezzi !

Après quelques petits arrêts sur la route, notamment dans la petite ville de Porto Vecchio pour manger une crêpe, je me suis rendue à mon hébergement à Favone afin de préparer ma journée du lendemain.

• TREIZIEME JOUR : visite des alentours

Ce jour là je n’ai pas fait grand chose, je suis allée visiter les plages alentours autour de Favone, ainsi que quelques cascades et je me suis un peu reposée à mon bungalow.

• QUATORZIEME JOUR : lac de l’Ospédale et cascade Piscia di Ghjaddu

On prend un peu de hauteur cette fois-ci direction le lac de l’Ospédale et la cascade Piscia di Ghjaddu. Tu peux trouver des dizaines de randonnées vraiment sympas dans ce coin. Encore une fois, je n’ai pas fait mille choses ce jour-là mais j’ai pris mon temps pour apprécier les lieux et me poser un moment au bord du lac.

• QUINZIEME JOUR : piscines naturelles de Pucaraccia et aiguilles de Bavella

Réveil matinal pour se rendre aux piscines naturelles de Pucaraccia afin d’éviter le monde qui arrive en général vers 10h. Ce splendide endroit a largement sa place dans mes incontournables, je te laisse aller y jeter un coup d’œil ici. Je me suis dirigée ensuite vers les aiguilles de Bavella. De nombreuses randonnées partent, encore une fois, du col de Bavella. Celle qui m’intéressait étant un peu longue puisque c’était une étape du GR20, j’ai donc décidé de n’en faire qu’une partie en me rendant seulement aux pieds des aiguilles de Bavella et de revenir au parking en 3h30 environ aller/retour. Le dénivelé est assez important et de bonnes chaussures de rando sont préconisées car le sentier est très caillouteux. Arrivée en haut, on a une vue exceptionnelle sur les forêts et les montagnes alentours.

La journée étant loin d’être finie, j’ai décidé de faire la petite randonnée d’environ 2h aller/retour qui mène au Trou de la Bombe : un énorme trou circulaire dans la roche, en face des aiguilles de Bavella.

C’est une rando assez tranquille à part la fin où il faut escalader jusqu’au trou si on veut voir ce qu’il y a de l’autre côté. Ceux qui sont amateurs d’escalade et qui n’ont pas le vertige, je vous conseille d’aller jeter un coup d’œil tout en haut, la vue est top ! J’ai adoré cette partie montagneuse de la Corse mais le temps file et je dois me diriger vers mon hébergement à Aléria avant de me rendre, le lendemain vers Corte.

• SEIZIEME JOUR : direction la belle Corte

Après un départ tardif de mon camping à Aléria, j’ai mis environ une heure pour rejoindre Corte et mon nouvel hébergement : un autre camping au pied de la citadelle ! Étant hyper bien située, j’ai pu flâner dans Corte sans prendre la voiture et me rendre, entre autre, au belvédère qui surplombe la ville. Corte est une ville universitaire qui bouge pas mal, je lui ai trouvé un certain charme ! Elle possède de multiples restaurants, des petits magasins typiques corses, une belle place centrale et une rivière qui permet aux habitants de se rafraichir lors des fortes chaleurs.

Elle est également au cœur des montagnes et permet d’accéder à de multiples randonnées dans un cadre exceptionnel.

• DIX-SEPTIEME JOUR : les gorges de la Restonica et les lacs de Melo et Capitello

Qui dit montagne dit forcément paysages à couper le souffle et lacs d’altitude. Me voilà donc partie pour les Gorges de la Restonica, à trente minutes de Corte, sur une route étroite et sinueuse afin d’effectuer la randonnée qui mène jusqu’aux lacs de Melo et Capitello. À ma grande surprise, l’entrée dans le parc est payante et coûte 6 euros pour un véhicule. J’arrive au parking un peu plus haut et une dame m’indique une place où me garer. Il y a déjà énormément de voitures alors qu’il et encore assez tôt.. La rando jusqu’au premier lac ne prends que 30min environ et est assez simple.

Il faut ensuite compter 45min de marche en plus pour le second lac avec un dénivelé plus important et un chemin plus caillouteux. Comme je le pensais, il y avait beaucoup de monde pour accéder au premier lac et nous étions un peu à la queue leuleu sur le chemin, je n’imagine pas en pleine saison ce que ça donne… Il faut savoir qu’hormis le fait que l’endroit est hyper sympa pour se prélasser un dimanche en famille, ce tronçon est également une partie du GR20, ceci explique sans doute pourquoi les lieux sont aussi fréquentés.

Si tu es de passage à Corte pour quelques jours, je te recommande vivement cette rando ! Malgré la popularité des lieux, tu arriveras forcément à trouver un endroit calme pour te poser et profiter du soleil et si tu es courageux, tu oseras peut-être un petit plouf malgré la neige éternelle en arrière plan qui te donne une idée de la température de l’eau haha. Après avoir passé une bonne partie de la journée au lac de Capitello, je suis redescendue tranquillement et je suis retournée me poser à mon camping car, le lendemain, une autre grosse rando m’attendait !

• DIX-HUITIEME JOUR : à la découverte du lac de Nino

J’ai pris la route vers 8h pour me rendre au départ de la randonnée du lac de Nino, à 1h20 de route de Corte. Le départ de la randonnée se fait à la maison forestière de Poppaghja. Il faut compter environ 4h30 sans pause aller/retour pour cette marche mais je t’assure que ça vaut le détour ! D’ailleurs, je te parle de tout ça dans mes incontournables car j’ai eu un petit coup de cœur pour ce lac perché au creux des montagnes.

• DIX-NEUVIEME JOUR : retour sur Bastia

J’ai gardé la visite de Bastia pour la fin de mon séjour et j’ai bien fait car si, au premier abord, je n’ai pas trouvé cette ville sensationnelle, le fait d’y remettre les pieds juste avant de partir m’a fait changé d’avis ! Bastia regorge de choses à voir et à faire et elle est très dynamique ! La journée, j’ai déambulé dans les rues, comme à mon habitude, pour essayer de m’imprégner de l’atmosphère des lieux. Le soir, je me suis fait plaisir en m’offrant un repas dans un des meilleurs restaurants de la ville avec une vue magique sur le port tout illuminé.

En rentrant à mon hébergement, j’ai croisé deux gars qui venaient d’arriver et qui cherchaient un endroit où sortir. Nous avons parlé un petit moment avant qu’ils ne m’invitent à venir boire un coup avec eux mais j’étais bien crevée. Nous avons échangé nos contacts pour se retrouver le lendemain.

• VINGTIEME JOUR : dernier jour en Corse avant de rentrer à la maison

J’ai rejoins les gars de la veille à la plage vers midi après avoir acheté quelques souvenirs. Au programme : soleil, farniente et discussions en tout genre ! En fin d’après-midi, nous sommes retournés au centre ville boire un verre avant de manger et de profiter de l’ambiance de la place centrale. Il y avait un petit concert et le groupe présent reprenait plein de chansons connues, rien de mieux pour finir mon aventure Corse en beauté !

• VINGT-ET-UNIEME JOUR : retour dans la Drôme

J’ai pris le ferry à 7h30 le matin pour retourner sur Nice. Avec une arrivée prévue vers 13h30, j’ai pu rentrer doucement chez moi, dans la Drôme, avec plein de souvenirs en tête !

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